06 Nov
06Nov

par Léa Frugale

Mise à jour – novembre 2025


L’épicerie : le miroir d’un Québec qui se réveille

En 2025, faire l’épicerie au Québec n’a jamais été aussi coûteux ni aussi stratégique. Les prix alimentaires explosent, les formats rapetissent, et les circulaires québécoises rivalisent de couleurs pour te convaincre que tout est “en spécial”. Chaque semaine, les bannières promettent des aubaines, mais la facture grimpe quand même. Ce n’est pas de ta faute : c’est un système conçu pour que tu dépenses plus sans t’en rendre compte. C’est précisément pour ça qu’est né Frugalo™, le mouvement québécois du gros bon sens à l’épicerie. Ici, pas de morale ni de privation : juste des outils, des stratégies et des réflexes concrets pour reprendre le contrôle sur ton panier et ton portefeuille. Être frugal, ce n’est pas se priver ; c’est refuser d’être manipulé par les rabais trompeurs, c’est apprendre à lire entre les lignes, à repérer les vrais prix planchers et à planifier intelligemment ses repas. En appliquant la méthode Frugalo™, tu découvres qu’économiser n’a rien d’un sacrifice : c’est un acte d’indépendance. Dans un Québec où tout augmente sauf les salaires, la frugalité moderne devient une nouvelle forme de liberté — celle de choisir ce que tu consommes, quand et comment.


Le Système FRUGALO™ – sept lettres pour changer ta façon d’acheter

F – Fais ton plan avant d’y aller

R – Repère tes prix planchers

U – Utilise ton stockpile maison

G – Garde un œil sur les cycles de rabais

A – Achète local quand c’est logique

L – Limite le gaspillage, maximise les restes

O – Optimise chaque dollar, sans virer fouSept réflexes simples, une seule philosophie : acheter consciemment pour vivre mieux.


1. Croire que « en spécial » veut dire « pas cher »


Chaque jeudi, les circulaires d’épicerie au Québec t’assaillent de slogans :“WOW”, “AYOYE”, “IMBATTABLE”, “2 pour 7 $”. Ces mots-clés sont choisis pour frapper ton œil, pas pour alléger ta facture. Derrière ces affiches criardes se cache une stratégie millimétrée : les produits d’appel, appelés loss leaders, trônent en première et dernière page pour te faire croire que tout le reste est à rabais. Pendant que tu fonces pour le beurre à 4,88 $, ton panier se remplit de produits ordinaires vendus plein prix — souvent 15 à 40 % plus cher qu’à leur prix plancher réel. Les grandes bannières (Maxi, Super C, Métro, IGA) misent sur ton impulsion visuelle : couleurs rouges, chiffres ronds, fausses urgences. C’est de la psychologie, pas de l’économie. Le consommateur Frugalo™, lui, a compris le truc. Il ne regarde plus les majuscules ni les astérisques : il analyse les prix sur plusieurs semaines grâce au Duel des circulaires Frugalo et à son Carnet de prix. Il sait qu’un rabais n’en est un que lorsqu’il atteint le vrai prix plancher, observé dans le temps.Les chiffres ont une mémoire : c’est en les suivant que tu reprends le pouvoir. En 2025, être frugal, ce n’est pas couper dans la qualité, c’est arrêter de croire que le rouge = économie. La vraie aubaine n’est pas celle que le magasin t’annonce, mais celle que toi tu reconnais.

Règle d’or Frugalo™ : ne stocke que quand le prix touche ton plancher.Exemple : fromage en bloc 400 g à 6,99 $ “en spécial” ; vrai prix plancher Frugalo™ : 4,44 $.


Réflexe FRUGALO™ :

– Analyse seulement la première et la dernière page.

– Note les prix planchers dans ton carnet.

– N’achète et ne stocke que lorsque le prix atteint le plancher.


2. Ignorer le coin réduction du matin


Chaque matin, entre 8 h et 10 h, pendant que la plupart dorment encore ou font la file au café, les commis d’épicerie font ce qu’on appelle la “tournée de dates”. C’est le moment où ils retirent des tablettes tous les produits qui approchent du fameux “meilleur avant” et les déplacent dans les coins réduction, aussi connus sous le nom de “markdown”. Pain, yogourt, fromage, viande, tofu, fruits et légumes : tout y passe. Les rabais vont de 30 à 70 %, parfois même plus quand la journée avance. Ces bacs ou frigos discrets sont les véritables mines d’or de l’épicerie québécoise — mais seuls les initiés les connaissent.C’est ici que se joue la vraie différence entre payer le prix et payer le bon prix. Pendant que la majorité se jette sur les rabais des circulaires, les Frugalo™ savent que la vraie économie se trouve à 9 h du matin, juste après la tournée. Un pain à 1,29 $, un paquet de viande hachée à moitié prix, un bloc de cheddar à 2,50 $ — des économies concrètes, sans coupon ni application. Le secret ? Arriver tôt, connaître le moment des réétiquetages et planifier ton congélateur en conséquence. Les coins markdown ne sont pas une chasse au rabais : ce sont des laboratoires d’intelligence économique, où chaque dollar sauvé devient un réflexe de gros bon sens. Exemple concret : poitrines de poulet à 13,99 $, étiquette -50 % à 8 h 45 chez Métro = 7 $.


Réflexe FRUGALO™ :

– Magasine tôt, idéalement entre 8 h et 10 h.

– Demande où est le coin réduction.

– Congèle ou cuisine tes trouvailles le jour même.


3. Oublier les liquidations saisonnières (épiceries et pharmacies)


Quand les fêtes se terminent, les vraies affaires commencent. Le lendemain d’Halloween, de Noël, de Pâques ou de la Saint-Valentin, c’est la ruée des initiés : les épiceries et pharmacies du Québec liquident entre -70 % et -90 % tout ce qui est thématique. Chocolats, bougies, décorations, vaisselle, cartes, crèmes, shampoings, produits beauté — tout doit partir. Ces liquidations ne sont pas des restants : ce sont des aubaines cachées à l’air libre, ignorées par 90 % des consommateurs. Les Frugalo™ savent qu’acheter après la fête, ce n’est pas être en retard — c’est planifier en avance. Les esprits patients bâtissent leur stock pour l’année suivante pendant que les autres paient plein prix dans la frénésie d’avant-fête. En planifiant ton calendrier de liquidation, tu peux économiser plusieurs centaines de dollars par année sans changer tes habitudes. Et n’oublie pas les pharmacies : Jean Coutu, Brunet, Familiprix ou Uniprix font aussi de grandes liquidations saisonnières sur les bougies, parfums, ensembles cadeaux et soins corporels. Ces rabais atteignent souvent -80 % dès le lendemain des fêtes.Exemple : chocolats de Pâques à -75 % chez Walmart, bougies de Noël et crèmes hydratantes à 2,99 $ chez Jean Coutu.


Réflexe FRUGALO™ :

– Note les dates clés : après Halloween, Noël, Pâques et Saint-Valentin.

– Combine épicerie et pharmacie.


4. Faire l’épicerie sans plan


Aller à l’épicerie sans plan, c’est un aller simple vers la surdépense. Dès que tu passes la porte, tout est orchestré pour te faire acheter plus : musique douce, odeur de pain chaud, éclairage flatteur sur les fruits, dégustations “gratuites” qui déclenchent des achats impulsifs. Les épiceries connaissent la psychologie du consommateur mieux qu’un coach de vente. Le consommateur Frugalo™, lui, n’y va pas à l’instinct : il entre avec une stratégie claire. Cinq soupers à 5 $, un estomac plein, et une liste classée Or / Argent / Bronze — le système maison qui a sauvé des milliers de dollars aux abonnés Frugalo:

  • Or = prix plancher → j’achète et je stocke.
    Ce sont les produits au plus bas de leur cycle, ceux que tu peux acheter en plus grande quantité et conserver.
  • Argent = bon prix → j’achète si c’est nécessaire.
    Tu en prends seulement si c’est dans ton menu ou si ton stock est bas.
  • Bronze = prix régulier → j’attends.
    Tu ignores, tu reportes, ou tu remplaces par une alternative plus économique.

Ce système simple, mais redoutablement efficace, transforme ton panier en plan d’action stratégique, pas en improvisation coûteuse.
Il remplace les achats impulsifs par des décisions calculées et te fait redécouvrir le pouvoir du GBS — le gros bon sens.Exemple concret : un plan de repas Frugalo (pâtes, riz, lentilles, œufs, tofu) = 67 $ pour 5 soupers. Sans plan, la facture grimpe à 120 $ pour les mêmes ingrédients.


Réflexe FRUGALO™ :

– Planifie tes repas avant de sortir.

– Classe ta liste : Or (stock), Argent (besoin), Bronze (attends).

– Inspire-toi des Recettes à 5 $.


5. Croire que “frais” veut dire “meilleur”


Le mot “frais” est devenu un argument marketing. Pourtant, les légumes surgelés gardent leurs nutriments, se conservent plus longtemps et coûtent moins cher. Ton congélateur n’est pas une arrière-pensée : c’est ton Aller à l’épicerie sans plan, c’est un aller simple vers la surdépense. Dès que tu passes la porte, tout est orchestré pour te faire acheter plus : musique douce, odeur de pain chaud, éclairage flatteur sur les fruits, dégustations “gratuites” qui déclenchent des achats impulsifs. Les épiceries connaissent la psychologie du consommateur mieux qu’un coach de vente. Le consommateur Frugalo™, lui, n’y va pas à l’instinct : il entre avec une stratégie claire. Cinq soupers à 5 $, un estomac plein, et une liste classée Or / Argent / Bronze — le système maison qui a sauvé des milliers de dollars aux abonnés Frugalo:

  • Or = prix plancher → j’achète et je stocke. Ce sont les produits au plus bas de leur cycle, ceux que tu peux acheter en plus grande quantité et conserver. 
  • Argent = bon prix →j’achète si c’est nécessaire. Tu en prends seulement si c’est dans ton menu ou si ton stock est bas. 
  • Bronze = prix régulier → j’attends. Tu ignores, tu reportes, ou tu remplaces par une alternative plus économique. 


Ce système simple, mais redoutablement efficace, transforme ton panier en plan d’action stratégique, pas en improvisation coûteuse. Il remplace les achats impulsifs par des décisions calculées et te fait redécouvrir le pouvoir du GBS — le gros bon sens. Exemple concret : un plan de repas Frugalo (pâtes, riz, lentilles, œufs, tofu) = 67 $ pour 5 soupers. Sans plan, la facture grimpe à 120 $ pour les mêmes ingrédients.-fort alimentaire. Le consommateur Frugalo™ comprend que “frais” ne veut pas dire “supérieur”, mais “périssable”. Acheter durable, c’est éviter le gaspillage et protéger ton budget à long terme. Exemple : brocolis frais à 5,49 $ remplacés par les légumes d'automne surgelés Sans Nom 750 g  à 2,79 $, mêmes nutriments.


Réflexe FRUGALO™ :

– Cuisines en double et congèle.

– Favorise les surgelés hors saison.


6. Acheter pour le logo


Les grandes marques d’épicerie vendent une image, pas un goût. Elles misent sur le prestige, les publicités “émotives” et les campagnes de fidélité pour te faire croire que la qualité coûte plus cher. En réalité, les produits maison des bannières québécoises (Sans Nom, Irresistibles, Compliments, Selection, Great Value) proviennent souvent des mêmes usines que les marques nationales, mais sans le marketing tapageur qui gonfle le prix.Les analyses Frugalo 2025 révèlent un écart moyen de 30 à 40 % sur les produits de base — beurre d’arachide, yogourt, fromage râpé, pâtes, céréales — et jusqu’à 60 % sur les condiments, produits ménagers et collations. Tu paies donc plusieurs dollars de plus simplement pour le logo sur l’étiquette.Acheter une grande marque, c’est payer la publicité à ta place. Acheter une marque maison, c’est payer pour ton autonomie. Le goût est le même, le portefeuille te remercie, et ton panier retrouve son équilibre.Exemple concret : ketchup Sans Nom à 2,99 $ contre Heinz à 5,99 $, pour la même teneur en tomates, le même sucre, et la même satisfaction dans ton hot-dog.


Réflexe FRUGALO™ :

– Compare les ingrédients et le prix au litre ou au kilo.

– Teste à l’aveugle.


7. Jeter à cause d’une date


Meilleur avant” ne veut pas dire “périmé après”. C’est un repère de fraîcheur, pas une date de sécurité. Pourtant, chaque semaine au Québec, des tonnes de nourriture encore parfaitement comestible finissent à la poubelle, souvent par peur ou méconnaissance. L’industrie le sait : plus on jette, plus on rachète. Le consommateur Frugalo™ refuse cette logique. Il fait confiance à ses sens, pas à une étiquette imprimée. Il regarde, il sent, il goûte — bref, il se réapproprie le jugement que le marketing nous a fait perdre. Ce n’est pas de la prise de risque : c’est du gros bon sens appliqué. Un lait légèrement passé devient un ingrédient pour pancakes, un pain sec se transforme en chapelure maison croustillante, un vieux fruit finit dans un smoothie. Chaque aliment sauvé, c’est de l’argent gardé et du gaspillage évité. Le secret Frugalo™, c’est de voir ton frigo comme une ressource, pas comme une bombe à retardement. C’est là que commence la vraie frugalité moderne : valoriser ce que tu as déjà avant de racheter.Exemple concret : lait daté du 3 encore bon le 6, pain sec transformé en chapelure ou pouding au four.


Réflexe FRUGALO™ :

– Observe avant de jeter.

– Congèle les surplus.


8. Négliger les épiceries de liquidation


Les épiceries de liquidation du Québec sont de véritables trésors cachés pour quiconque veut faire fondre sa facture sans se priver. Boom Liquidation, Liquidation Marie, Segal — ces adresses discrètes renferment les mêmes produits de marque que les grandes bannières, mais à -50 %, -70 %, parfois même -80 %. On y trouve de tout : café, céréales, collations, produits bio, cosmétiques, produits ménagers et alimentaires secs. Ce ne sont pas des invendus douteux, mais souvent des surplus d’entrepôt, des erreurs d’emballage ou des produits à date courte encore parfaitement bons. Oublie l’image du magasin “cheap” : ces commerces sont les refuges du gros bon sens. Le consommateur Frugalo™ s’y rend chaque mois pour bâtir un stock malin, économiser des centaines de dollars par année et redécouvrir le vrai prix des choses.
Ceux qui y entrent une fois ne reviennent plus jamais au prix régulier. Exemple concret : café Starbucks 12 capsules à 4,99 $ chez Boom Liquidation contre 11,99 $ en grande surface. Même café, même goût, 58 % moins cher.


Réflexe FRUGALO™ :

– Planifie une tournée liquidation chaque mois.

– Consulte le Guide 2025 des épiceries de liquidations.

– Cible les produits secs et non périssables.


9. Ignorer les cycles de prix


À l’épicerie, rien n’est vraiment aléatoire : chaque produit suit un cycle de prix de 4 à 6 semaines, parfaitement prévisible pour ceux qui prennent la peine d’observer. Le beurre redescend à 4,88 $ environ une fois par mois, les pâtes tournent autour de 1,66 $, le tofu revient à 2 $, les œufs à 2,99 $ la douzaine. Pourtant, la majorité des Québécois achète “quand ça tente”, sans savoir que la même boîte de pâtes coûtera 30 % de moins dans quinze jours. C’est ce qu’on appelle la taxe de l’impatience — et elle te coûte des centaines de dollars par année. Le consommateur Frugalo™, lui, a compris la mécanique. Il note chaque baisse dans son Carnet de prix Frugalo et apprend à anticiper les cycles des circulaires. Il ne subit plus les hausses : il attend le bon moment, achète en quantité raisonnable, puis stocke ce qu’il faut, quand il faut. Ce réflexe transforme ton panier d’épicerie en plan d’investissement miniature. En suivant les cycles, tu évites les achats impulsifs et tu construis un stock à prix plancher — la base même du mode de vie Frugalo™. Exemple concret : beurre 454 g à 4,88 $ toutes les cinq semaines. En achetant six blocs quand le prix chute, tu économises 30 $ par an, sans te priver.


Réflexe FRUGALO™ :

– Note les cycles dans ton Carnet de prix.

– Stocke pour six semaines maximum.

– Achète uniquement au retour du bas prix.


10. Penser que la frugalité, c’est se priver


Être frugal, ce n’est pas vivre petit — c’est vivre intentionnellement. Refuser un café à 7 $ pour un latte maison à 0,83 $, ce n’est pas être cheap : c’est être conscient. C’est comprendre que chaque dollar dépensé raconte une histoire. La frugalité moderne, c’est la liberté de dire non à la surconsommation, de choisir la qualité plutôt que le statut, et de reprendre le contrôle sur ton argent, ton temps et ton énergie. Frugalo™ incarne cette nouvelle fierté québécoise : celle de vivre mieux avec moins, d’acheter moins souvent, mais mieux choisi. Ici, on ne parle pas de privation, on parle de puissance tranquille. Être frugal, c’est te donner le droit de dire “non merci” à ce qui ne t’apporte rien et “oui” à une vie plus libre, plus simple et plus vraie.Les chiffres parlent d’eux-mêmes : un simple café maison à 0,83 $ contre 7,25 $ au comptoir, c’est 180 $ économisés par mois, soit plus de 2 000 $ par an — juste en reprenant la maîtrise de ton café du matin. La frugalité, ce n’est pas un sacrifice, c’est un acte de souveraineté personnelle. Et ça, c’est 100 % québécois.


Réflexe FRUGALO™ :

– Célèbre chaque économie.

– Partage tes découvertes.

– Abonne-toi à l’Infolettre Frugalo pour recevoir les stratégies du jeudi.


Frugalo™ : la révolution tranquille du panier québécois


Frugalo™, c’est le retour du gros bon sens dans un Québec saturé de rabais trompeurs et de prix gonflés. C’est un mouvement qui refuse la résignation et redonne du pouvoir à chaque consommateur, un panier à la fois. Dans un monde où tout augmente sauf les salaires, Frugalo™ incarne une nouvelle fierté : celle de reprendre le contrôle, de savoir, de planifier, et de refuser de payer pour des illusions. Chaque économie, aussi petite soit-elle, devient un acte d’indépendance économique. Chaque repas planifié, une victoire concrète contre le chaos de l’inflation. La frugalité, ici, n’a rien d’une punition : c’est un art de vivre québécois, lucide, créatif et profondément moderne. Frugalo™, ce n’est pas une marque : c’est une philosophie collective, un cri du cœur d’un peuple qui a décidé d’arrêter de se faire avoir. C’est un mouvement de liberté alimentaire et financière, bâti sur le respect du travail, la simplicité, et l’intelligence du quotidien. Le Québec n’a jamais eu besoin de plus de luxe : il a besoin de plus de lucidité. Et cette lucidité, c’est Frugalo™ qui la rallume — dans chaque foyer, chaque épicerie, chaque repas à 5 $.

Suis Frugalo

On s’amuse, on rit… pis surtout, on garde nos cennes !




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